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 Don't be afraid of the dark ... |Loading ...|

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Kim Jun Kyo
Kim Jun Kyo


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Don't be afraid of the dark ... |Loading ...| Vide
MessageSujet: Don't be afraid of the dark ... |Loading ...|   Don't be afraid of the dark ... |Loading ...| EmptyVen 4 Sep - 20:49

    .·´F O R M U L A I R E`·.
    Nom :
    - Dis ... Tu veux m'épouser ?
    - Va te faire foutre.
    «Ouais, bon, certaines réponses, même négatives, sont plus glamours que celle de ma mère. Mais elle a beau adorer mon père, qui, inlassablement, années après années, lui repose cette question quasi-sacro-sainte, elle lui fait toujours la même réponse. Tout le monde dit que c'est parce qu'elle a peur de s'engager. Au bout de vingt-cinq ans avec mon père, j'y crois difficilement. Je pense plutôt qu'elle n'a pas envie de se dire qu'elle lui doit quoi que ce soit. Elle appelle ça de la fierté, moi je dis qu'elle est têtue comme une mule.
    Enfin bon, le jour de ma naissance, à la maternité, elle a donné un tel coup de coude à M.Lee, mon père, qu'il n'a pu que suffoquer quand elle a ordonné à l'infirmière d'inscrire son à elle, Kim, dans la case "Nom de l'enfant". Je crois que je tiens d'elle. »

    Prénom :
    - Jun Kyo !
    - Sun Hee !
    - Je te préviens, si tu appelles notre fille Sun Hee, je te quitte !
    « Voilà mes parents. Oui je sais, là vous vous dites "mon dieu, je suis tombé chez les barjes.". Pas de panique. Mes parents se disputent tout le temps pour un rien, mais en fait, ils s'aiment, les imbéciles. Alors pas le choix, devant cette menace qu'il n'aurait de toute manière jamais mis à exécution, ma mère a cédée, et je m'appelle Jun Kyo. Franchement, c'est mieux comme ça, parce que ma personnalité n'aurait pas collée avec le nom si doux, si précieux de Sun Hee. Quoique quelque fois, je me demande si ça aurait changé quelque chose à mon sale caractère... »

    Surnom :
    - Ma puce, on va être en retard !
    - .... !!!
    « Puce : n.f. (lat. pulex, -icis) Insecte aptère, au corps aplati latéralement, à pattes postérieures sauteuses, parasite de l'homme et des mammifères dont il puise le sang par piqures. (Long. 1 à 4 mm, genre Pulex ; ordre des siphonaptères.)
    J'ai cherché dans le dictionnaire. Mot pour mot. Tout le monde comprendra que je puisse exécrer ce surnom parfaitement ridicule. Est-ce que j'ai le moindre point commun avec ce qui est défini ici comme un "parasite" ?! »

    Date de naissance :
    - Aller Mme Lee, encore un dernier effort !
    - Je voudrais bien vous y voir !
    « Ce jour là, ma mère m'en voulait tellement qu'elle aurait très bien pu me donner au premier médecin aux bras libres qu'elle aurait croisé. Mais j'étais terriblement impatiente, et c'est pour ça que je suis sortie de son ventre douillet une semaine plus tôt que ce qui était prévu. Mon père était livide, et c'est lui qui a broyé la main de sa femme quand j'ai poussé mon premier cri. »
    - Qu'est-ce qu'elle est moche !
    « J'admets qu'à six heures de l'après-midi, le 3 mars 1991, je ressemblais plus à un bout de saucisson machouillé et recraché qu'à un bébé. Mais ma mère aurait pu au moins remarquer mes magnifiques prunelles noires ou, je ne sais pas, admettre que pour quelqu'un qui venait de passer neuf mois à l'étroit dans son ventre plein d'eau, j'avais bonne mine ! »

    Âge :
    - Happy birthday to you, happy birthday to ...
    - Taek Yang, arrête ça.
    « Je vous ai dit que ma mère déteste les anniversaires ? Mon père en revanche, il adore ça. À chaque fois, il se sent obligé de chanter cette stupide chanson anglaise. Quand j'étais petite, je fantasmais sur la trajectoire du gâteau dans sa gorge qui, peut-être par miracle, pourrait venir à emprunter la mauvaise voie et l'étouffer en plein couplet. Mes désirs les plus chers sont rarement exaucés, même au bout de dix-huit ans de supplications désespérées. »

    Sexe :
    « C'est effectivement un problème chez moi. Comment ? Ah pardon, ce n'était pas la question ! Et en quoi ça peut bien vous intéresser ? Je sais bien qu'il suffirait d'un peu d'inattention pour m'appeler "monsieur", mais ce n'est pas une raison pour venir me regarder sous le nez. Ou ailleurs. Et quand bien même je me baladerai avec un écriteau "Je suis une FEMME" autour du cou, il y aura toujours des imbéciles pour en douter. Peut-être qu'un jour j'investirai dans une grande entreprise de lunettes et que j'en offrirai à tout ceux que je croise. Même certains mecs viennent me voir en me demandant de ne pas m'approcher de leur copine. Don't worry guys, je suis 100 % hétéro. Parfois je me demande ce que ça aurait été si j'avais vraiment été un garçon. »

    Nationalité :
    - Où est mon passeport ?
    - À sa place.
    « Logique. On ne quitte pas souvent le pays avec mes parents, alors quand ça arrive, c'est le branle-bas de combat. Surtout au dernier moment. Entre les valises qu'on perd à l'aéroport, les passeport qui, manque de bol, était justement dans cette même valise, et mon père qui réalise que son anglais est périmé, c'est toujours très folklorique. Mais c'est marrant. Enfin, quand même, pas trop longtemps. Les voyages, c'est bien tant que c'est pour se rappeler combien notre chez nous nous manque. Alors quand on revient et qu'on voit le sol se rapprocher, ça fait un petit quelque chose. J'aime mon pays. J'aime cette langue hululante qu'on y parle. La Corée, c'est quand même l'une des seules destinations du monde où l'on peut aussi bien se perdre dans les traditions que dans les avancées. Et puis, on est tellement agressifs envers les étrangers. C'est notre mentalité je crois. D'être coréen. Et de vouloir le rester. »

    Lieu de vie :
    - Tu aimes ?
    « Mon père travaille dans une entreprise d'import/export. Ma mère est hôtesse au sol à l'aéroport de Daegu. Vous dire qu'on a eu quelque difficultés à payer le loyer par moment ne serait que justice. Mais au final, leur revenu est bien assez satisfaisant pour qu'on ai pas à compter les gouttes qu'on utilise quand on prend un douche. Et puis, ma maison, même si elle est assez petite, je la trouve géniale. Ma chambre est dans le grenier, ce qui me donne toute la place que je veux pour mes peintures et mes photos. Elle est située non loin de la mer, comme la plupart des vieilles maisons de la ville, alors le soir, quand on a bien mangé et qu'on ne s'est pas - encore - disputés, on sort tout les trois pour aller faire un tour sur la plage. Le son des vagues qui s'écrasent sur les pierres polies est enivrant. Ce petit bout de terrain, un peu bruyant et parfois le centre de mélodrames familiaux, me tiens à coeur. »

    {X} Homosexuel ; {X} Hétérosexuelle ; {X} Bisexuel


    .·´I D E N T I F I C A T I O N`·.
    Apparence :
    - Qu'est-ce que tu veux mon petit bonhomme ?
    « Je vous épargnerai la description du visage horrifié de la vendeuse lorsque je me suis retourné vers elle. Du haut de mes dix-sept ans, je dépasse à peine le mètre soixante, et mes cinquante kilos tout mouillé n'aident pas à me donner une image de femme voluptueuse, même si je le désirais. En même temps, j'ai un peu de mal à m'imaginer sorti du même moule que ces gamines maquillées comme des camions et aussi sexy que mon ours en peluche qui constituent l'élite de popularité et de féminisme du lycée. Pourtant, je fais largement ma part de sport, et ce depuis mon plus jeune âge. Mon père est féru de tout ce qui est entrainement intensif, mais plutôt que de bouger lui même son derrière de coréen propre sur lui, il me fait exécuter ses quatre volontés. J'ai pu observer tout mon loisir les effets néfastes de l'équitation sur un derrière sensible, le contrecoup des soirées passées dans le froid, à se les geler en attendant que le coach daigne finir son café brulant pour finalement avoir comme récompense une bataille de boule de neige. Mon système immunitaire doit me haïr de tout ce que je lui ai fait subir. Ma fierté première n'est pas ce que j'ai réussi à faire de mon corps. Malgré mes efforts perpétuels, je reste coincé dans un organisme d'enfant de douze ans, avec la bouille adorable qu'on voudrait couvrir de baisers, les grands yeux noirs qui posent toujours les questions auxquelles personne ne veut répondre, la bouche rose qui vire au bleu au moindre petit coup de vent, les quelques tâches de rousseurs qui finissent par percer la peau mate ... Si je fais mourir de rire tout mes adversaires dans n'importe quel sport que ce soit, je peux en revanche m'attirer le mérite d'entrer dans n'importe quel vêtements moulant, moi. Et les vendeuses m'idolâtre.
    D'après ma mère, j'aurai beau être écartelée et tout ce qui s'en suit, je ne pousserai plus d'un demi-centimètre, et même en m'empiffrant comme un américain moyen, je dépasserai difficilement les soixante-dix kilos, histoire de garder mon titre incontestée de crevette. Enfin, je tiens physiquement d'elle, au grand dam de mon paternel.
    Après dix ans à me bagarrer avec des garçons, malgré ma taille de crevette anorexique, j'ai toujours des jambes de brindilles qui pourtant mettent régulièrement une distance honorable entre moi et les abrutis qui pensent qu'une fille n'est utile que derrière les fourneaux. Tout les gens que je croise me demandent si je joue du piano, à cause de mes doigts un peu trop longs et fins. Non madame, je ne sais même pas comment on tire le moindre son de ce monstre tout noir que vous me présentez. Oui je sais qu'on peut faire le tour de mon poignet avec ses doigts. Je sais aussi que ma peau dorée fait baver de jalousie toute ces dames qui dépensent des fortunes en séances d'UV. À charge de revanche, moi je crève rage quand je les voie danser sur leur talons vertigineux, m'écrasant encore de leur taille svelte. Je hais les femmes.
    Dernièrement, j'ai trouvé une parade qui amuse follement ma mère. Mes cheveux, avec lesquels je me suis toujours amusée, ont été effilochés par mes soins. Et suite à une longue discussion avec mon coiffeur, il a été établi que le meilleur moyen de leur donner plus d'éclat serait de les teindre. Je suis donc passée d'un noir de jais à un châtain méché. Le résultat est bluffant, et m'accorde quelques malheureux centimètres en plus. Étant donné que ce tour de passe passe a failli tuer mon père de contrariété et que ma mère ne rechigne jamais à le voir s'étouffer de rage, elle m'a offert un joujou que j'apprécie beaucoup: des lentilles de couleurs. Le bleu est ce qu'il y a de plus amusant, puisqu'aucun asiatique n'a l'iris de cette couleur. Et mon père en a fait une syncope, pour le plus grand bonheur de ma mère. Est-ce qu'elle l'aime vraiment finalement ? On dirait deux gamins amoureux qui ne savent pas comment faire pour attirer l'attention de l'autre autrement qu'en l'asticotant. À ce point là, ce n'est plus de l'amour mais de la rage.
    Et puis, parce que mes muscles, malgré tout bien présents, ne se voient absolument pas sous ma peau mordorée, je peux enfiler sans problème la nouvelle mode du moment, ces fameux jean près du corps, avec d'autant plus de fantaisie que j'aime être extravertie. D'où les couleurs chatoyantes, absolument flashy et totalement décalé qui composent ma garde-robe. »


    Goûts Musicaux :
    « Le rock, celui qui est né avec les Rolling Stones, David Bowie, ZZ Top, Blondie, Genesis, Guns N Roses ... Même si je finis par m'emmêler les pinceaux dans les années. »

    Goûts Alimentaires :

    Goûts Vestimentaires :


    .·´H I S T O R I Q U E`·.
    Avant la naissance :
    Enfance :
    - C'est ma fille ça ?! Qu'est-ce qu'elle est moche.
    « À ma décharge, je venais de passer neuf mois à l'étroit dans le ventre rempli d'eau de ma mère, alors oui, je ressemblais à un bout de saucisson mâchouillé et recraché, mais elle aurait pu admettre que j'étais quand même en pleine forme. Mon père s'est rattrapé en hululant de joie et en sautillant partout. Tellement que j'en ai pleuré de frayeur. Rappelant quand même que, eh, on déconne pas, c'est moi l'héroïne du jour. Depuis, j'ai un peu de mal à me faire entendre .... »

    - Jun Kyo mais qu'est-ce que tu fabriques bon sang ?!
    « J'enfile mes guêtre, pourquoi ? Non, sérieusement, je me planque dans mon placard en priant pour que mes parents ne me trouvent pas et croient que je me suis fait la belle par la fenêtre. Malheureusement pour moi, ma mère a un radar à gens n'ayant surtout pas envie qu'on les trouve, et elle se dirige d'un pas assuré vers ma cachette. Mon gémissement de désespoir fait même sursauter le hamster tranquillement endormi dans sa cage, lui. Un instant, j'envie cette sale bestiole qui n'est pas forcée d'aller à cette stupide rencontre entre voisins, elle. Non mais, on a jamais rien fait d'aussi débile. Que voulez-vous que j'aille raconter à la vieille dame sénile du bout de la rue, celle qui croit que je suis sa petite fille qui vient enfin lui rendre visite ? Tout les jours, elle m'attrape par le bras avec une poigne digne d'un catcheur et m'oblige à prendre le gouter avec elle. Si je ne m'étais pas décolorée les cheveux en platine, peut-être qu'elle ne m'appellerait pas ma chérie à tout bout de champs. Je refuse de les suivre, mais comme d'habitude, face à mes parents, je n'ai pas d'autre choix que de glisser dans mes chaussures, et ne pas grimacer lorsque le voisin me pince les fesses. »
    Adolescence :


    .·´J O U E U R (E U S E)`·.
    Avatar : Park Yong Hee
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    Âge : On t'as jamais appris qu'on demande pas son âge à une dame =O
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Kim Jun Kyo
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MessageSujet: Re: Don't be afraid of the dark ... |Loading ...|   Don't be afraid of the dark ... |Loading ...| EmptyDim 6 Sep - 19:06

    Mentalité :
    - JUN' T'AS VU CETTE NANA ?!!!!
    « Mon dieu. Oui j'ai vu, et je ne vois pas en quoi c'est une raison pour me faire exploser les tympans. D'autant plus qu'elle est d'un vulgaire qui m'horripile. Malheureusement, elle est aussi exactement le genre de fille que les garçons de mon âge sont censés trouver orgasmiques. Vous savez quel est le pourcentage d'étudiants de type masculins qui obtiennent leur diplôme ? Du moins, s'ils n'avaient pas la bourse d'étude sportive ? Le mythe s'écroule. Les joueurs de foot ont un QI qui atteint à peu près celui de mes chaussettes. J'ai beau ne pas être une flèche, je me flatte intérieurement malgré tout de savoir faire la différence entre une cuillère et une fourchette. Oui je sais, je suis assez mesquine. En fait, c'est même mon occupation favorite. Critiquer les autres, me délecter de leur défauts et failles. Ce qui ne m'empêche pas de les apprécier, notez bien. Mais il faut bien que je m'amuse moi ici. Le lycée est une source de profonde perplexité pour moi. J'aimerai bien qu'on m'explique quel est l'intérêt de foutre en vrac une bonne centaine de gosses bourrés d'hormones et d'une susceptibilité à faire pâlir une vieille chatte, en priant je ne sais quel dieu pour que le tout n'explose pas. D'autant plus quand on voit ce que deviennent la bande d'adolescent boutonneux en question quelques années plus tard. La plupart en bavent pour trouver un travail, comme leur parents avant eux, en espérant à tort qu'un jour leur efforts seront récompensé, tandis qu'une minorité, pistonnés par leur parents, prendront du bon temps dans les bars et agiront éternellement comme s'ils étaient encore au lycée. J'avoue que ce n'est pas avec cette façon de penser que je m'en sors scolairement. Mais, comme dit précédemment, les garçons avec qui je traine ont un niveau intellectuel ras les pâquerettes, donc je ne sors pas vraiment du lot. En revanche, si les profs cessaient d'être des larves hurlantes et suintantes de jalousie, peut-être que je ferai un effort. Mais franchement, qui aurait envie de faire plaisir à une chose grouillante de fureur qui n'a pour unique objectif que de s'attirer tout le mérite de votre réussite dans dix ans ? Vu comme je suis partie pour me ramasser la gueule à la sortie des études, je me demande bien comment ils vont faire pour se rengorger à mon sujet. Après tout, s'ils sont responsable de la réussite de certains de leurs élèves, qui l'est de l'échec des autres ? La dernière fois que j'ai formulée cette question assez agressive dans sa forme, on m'a regardée comme si je venais d'annoncer que la prochaine saison au basket était gagné si l'on se déguisait en grenouilles nectopienne. D'habitude, je ferme assez bien ma tronche de sale gamine, et je passe pour l'écervelée de service. Et ça fait le bonheur de tout le monde. Le mien, parce qu'on ne m'emmerde pas avec mes mauvais résultats, et celui de l'élite, parce qu'une alien bizzaroïde n'empiète pas sur leur terrain. Tout ça, c'est juste une partie de moi que je ne ressors pas, que je n'ai aucune raison de sortir, parce qu'elle me fait jouir intérieurement du plaisir de dégrader tout ceux qui me regarde de haut. Pourquoi partagerais-je cette façon de penser avec qui que ce soit, puisque je mets tout le monde dans le même sac. Moi aussi j'ai mes préjugés, qu'est-ce que vous croyez. En fait, je suis même assez limitée dans mes réflexions, j'en ai bien conscience. Et puis, je suis tellement butée que même si on me mettait la vérité sous le nez dans un plateau d'argent, je refuserai de la voir et de l'accepter. J'ai raison et les autres ont toujours tort. Et puis faut pas déconner non plus, j'ai dix-sept ans. Mon plus gros problème reste de savoir si mes converses verte fluo s'accorderont avec mon t-shirt multicolore. Enfin pas tout à fait. Mon plus gros problème, c'est de ne pas me faire écraser par la bande de neuneus avec qui je traine et que, l'air de rien, j'aime de tout mon coeur. Oui, j'ai un faible pour les garçons un peu limité. Faux d'ailleurs, puisqu'ils sont plutôt malins les bougres, sauf que sur ce point là, on est semblable, ils n'aiment pas forcément le montrer. »


    Traits particuliers :
    « Je suis une fille qu'on appelle 75 fois sur 100 "mon garçon". C'est amusant, mais lassant. Je ne joue pas à être un garçon, je suis assez fière de ma condition de femelle, mais je n'éprouve pas le besoin de me peinturlurer pour me sentir bien. »
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